« L’éthique c’est l’esthétique de dedans. »

Pierre Reverdy

Déontologie du Coach

  • Respect de la confidentialité des entretiens. Le Coach étant tenu au secret professionnel, il ne communique donc aucune information à une tierce personne, sauf demande et accord express et écrit du Coaché.
  • Respect du Coaché, de sa personne, de ses opinions, de ses valeurs et de ses choix. Le Coach s’assure du caractère volontaire de la démarche du Coaché.
  • Respect de la finalité du coaching : développer l’autonomie du Coaché afin qu’il assume pleinement ses choix.
  • Interdiction de tout abus d’influence. Le Coach atteste d’un travail approfondi sur lui-même. Ce travail étant bien distinct de la formation.
  • Formation professionnelle reconnue et continue et régulation de sa propre pratique dans un lieu de supervision.
  • Le Coach peut refuser une prise en charge de coaching pour des raisons personnelles et ce sans avoir à les justifier.
  • Le Coach utilise ses compétences et tous les outils à sa disposition pour permettre au Coaché d’atteindre son objectif. Le Coach peut aussi avoir recours à un confrère ou orienter au besoin le Coaché vers un autre professionnel (thérapeute, etc.)

Intervention en entreprise

  • Le Coach intervenant dans le cadre de l’entreprise doit tenir compte de toutes les informations relatives au contexte organisationnel et à la culture de l’entreprise de façon à être en compréhension du référentiel de base de la structure avec laquelle il travaille.
  • La relation de coaching qui s’établit en entreprise est bien souvent de nature tripartite. De ce fait, le donneur d’ordre est en droit de recevoir des éléments d’appréciation de la mission sans atteinte au secret professionnel sur le contenu des séances. Toutefois cette information ne peut se faire sans accord préalable du coaché, et dans le cadre exclusif de son acceptation.
  • Le Coach s’engage à exercer sa mission en veillant à la congruence entre les intérêts du coaché et ceux de l’entreprise.